Dans une ville où les appartements ont plutôt quatre pièces qu'une, où les salaires sont bas et où la jeunesse se termine vers... cinquante ans, la colocation est un mode de vie complètement normal.
Le Berlinois ressemble au symbole de sa ville, l'ours : il est bourru. Petit coup de gueule d'une immigrée Française qui en a marre... de voir les Berlinois faire la gueule.
Un des symptômes les plus honteux que développent les Français à Berlin est celui-ci : une formelle incapacité à parler l'allemand au bout de quatre ans de "squat" dans la ville la plus cool d'Europe.
Génération Berlin a rencontré la génération Athènes. Là où l'on fait la fête à tout péter, pour oublier que les salaires ont été divisés par deux en quelques mois.
Encore un peu méconnus du grand public gaulois, les excellents films documentaires d’Andres Veiel sont pourtant la preuve que le cinéma allemand est bien vivant.
La fourrure et la hype berlinoise ne font pas bon ménage. J'ai justement le malheur de posséder un manteau en fausse fourrure qui me vaut bien des mésaventures...
C’est en découvrant une bonne adresse de restaurant de sushis à Berlin qu’un flot de souvenirs assez ridicules a affleuré à la surface de ma conscience.
Ce qu'il y a de plus chouette, dans le bus, à Berlin, ce sont les enfants. Marcel a failli me pourfendre avec un rouleau de nappe en papier. Bénédicte m'a expliqué en français que sa mère était nulle en allemand.